La séparation de l’Eglise et Etat est encore à l’ordre du jour. Un groupe d’experts, évidemment étranger, a analysé la situation au Luxembourg.
La décision, comment et si l’Etat va subventionner les Eglises et communautés philosophiques, appartient à la politique.
L’ADR est pour la liberté de croyance et respecte toutes les croyances, aussi longtemps que celles-ci respectent les principes de l’état de droit : Eglises et communautés religieuses doivent fonctionner séparément de l’Etat.
La réalité veut qu’elles soient dépendantes de la subvention de l’Etat.
D’ADR est pour le modèle italien de l‘ «otto per mille» : Une toute petite partie des impôts est transférée aux Eglises, communautés religieuses ou institutions caritatives.
Le citoyen décide lui-même, quelle Institution, communauté religieuse ou Eglise il veut subventionner.
Otto per mille
Les communautés religieuses et philosophiques, qui sont subventionné par le biais de l‘“otto per mille“ sont préalablement reconnues sur base de critères transparents.
Les critères à respecter sont p. ex. qu’elles doivent être actives depuis 10 ans au Luxembourg, ne pas avoir un objectif commercial, respecter la liberté de leurs membres ainsi que la Charte des droits de l’homme et les lois nationales.
Le cours de religion de toutes les communautés religieuses doit rester ou devenir une matière enseignée dans l’Ecole publique : L’Ecole doit respecter les choix des parents et élèves.